Les frères Bourdet ont été souvent confondus pour avoir occupé des charges similaires. Praticien réputé, auteur d’un ouvrage de référence, Etienne connut une réussite professionnelle sans égale à la fin de l’Ancien Régime mais la fin de sa vie fut assombrie pas des problèmes familiaux. Il avait favorisé la carrière de Bernard, son cadet, qu’il […]

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Compréhension et conduite à tenir dans le cadre de la région oro-faciale

L’addiction et la dépendance sont des conduites qui reposent sur une envie répétée et irrépressible de faire ou de consommer quelque chose en dépit de la motivation et des efforts du sujet pour s’y soustraire.

Le sujet se livre à son addiction, malgré la conscience vive qu’il peut avoir d’abus et de perte de sa liberté d’action, ou de leur éventualité.

L’addiction se rapporte autant à des conduites à risques qu’à la dépendance à des produits comme l’alcool, le tabac, les psychotropes…

Une récente étude a montré que des traces de drogues sont piégées dans le tartre dentaire qui peut contenir des informations sur une prise antérieure de drogues (cocaïne, héroïne, morphine et cannabis), alors que cette information était absente dans le sang.

Le travail de cette commission se limitera aux addictions ou dépendances aux produits les plus fréquemment consommés que le chirurgien-dentiste peut rencontrer chez certains patients au cours de son exercice.

Le MVAD est le fruit du travail de Pierre Baron en équipe avec  Micheline Ruel-Kellermann, membres de la commission d’histoire de l’Académie nationale de chirurgie dentaire.

Le MVAD s’enrichit de trois nouvelles « salles » qui vous racontent l’histoire des meubles, lavabos et crachoirs qui ont contribué à l’évolution de l’aménagement opératoire des cabinets dentaires depuis le XIXème siècle. Vous y verrez comment on a astucieusement remédié au manque d’eau courante, vous pourrez y admirer certains meubles tellement beaux qu’on les retrouve actuellement dans les salons des collectionneurs les plus avisés. Enfin, même les crachoirs qui pourraient vous répugner, lorsqu’ils sont en porcelaine ou en céramique ornent actuellement bien des vitrines. 

Bonne visite et surtout :N’oubliez pas de cliquer sur les images pour les agrandir et prendre connaissance des légendes
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Qui ne connaît l’Eau de Botot ?

L’intérêt du public ne se relâcha jamais pour cet élixir balsamique, créé aux environs de 1775 par un dentiste reçu expert à la Communauté des chirurgiens de Saint Côme issu de la bourgeoisie commerçante parisienne, Edme-François-Julien Botot.

Non moins intéressante est la biographie de son neveu, François-Marie, qui, après avoir repris quelque temps sa succession et la commercialisation du produit, dès le début fort prisé du public en dépit de ses nombreuses imitations, devint magistrat et se trouva mêlé à tous les événements qui agitèrent la France à l’extrême fin du XVIIIe et au début du XIXe siècle.

De nos jours, l’élixir, qui portait le nom et avait fait la fortune de son inventeur et de ses héritiers, est toujours vendu en pharmacie.

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Professeur de prothèse à l’Ecole dentaire de Paris au début de la Grande Guerre, Georges Villain prend en charge le centre de traitement ambulatoire pour les soldats français blessés au visage, centre institué par l’école en août 1914. […]

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